J'ai réussi à arriver sur les stands à 10h15, nananère, mais... je n'ai pas résisté pour autant à ces trois jours de repas gargantuesques et leurs flots d'alcools...

Je pense que ceux qui m'ont vue derrière mes livres ont dû me trouver bien verte. J'espère quand même ne pas avoir fait trop mauvaise impression à Flavie, Marianne, Laetitia, Léa, Margaux, la mère de Sarah (qui avait été un ange sur le stand la veille), Laurie, Bruno, les parents d'Elodie (bon cadeau de noël !), le père de Sandrine, le frère de Clotaire, Nadine, Audrey, le père de Jeanne, Aloïse, Jules (le retour), Vanessa et Maryline. Ce fut un plaisir de vous rencontrer et de discuter avec vous, même avec un estomac retourné. Merci à Stéphane de ne pas s'être trop moqué de moi en venant me voir après la lecture du précédent billet !

Je n'ai pas eu le courage de flâner dans les stands en cette dernière journée alors que je l'avais mis à mon programme. Ce fut mon regret. De toute manière, je ne crois pas que j'aurai pu voir tout le monde ; de nombreuses personnalités rendaient certains déplacements très difficiles (pour exemple : 1h15 d'attente pour dire un mot à Harlan Coben à seulement 30m de moi !). Brive accueille vraiment un énorme panel d'auteurs, que ce soit en terme de genre littéraire ou de degré de célébrité. Les lecteurs y trouvent forcément leur compte. Pour moi, la gratuité du salon reste son point le plus fort et la variété des invités l'origine de son succès.

Au revoir, beaux hôtels particuliers et jolies maisons de pierres grises. Le retour vers Paris (dans les voitures corail encore, dommage) a été placé sous le signe de la complicité avec une entraide amusante entre journalistes, auteurs, éditeurs et illustrateurs qui refusaient de perdre l'infini privilège de fumer dans la dernière voiture, vide comme à l'aller. Je ne citerai pas de nom, pour ne pas gêner certains grands pontes, mais ce fut particulièrement drôle.

Prochain rendez-vous Montreuil, le royaume de la Jeunesse. J'espère vous y voir aussi nombreux qu'à Brive.